MARIE-ALEXANDRINE YVERNAULT

Des pièces uniques tout en contrastes
Qu’il s’agisse de dioptase, d’améthyste, de cristal de roche, de tanzanite, de lapis-lazuli, de citrine, de malachite ou d’agate, à la manière de toutes les pierres ou minéraux magnifiés par Marie-Alexandrine Yvernault, chaque pièce de ses collections est unique. Un vrai manifeste à l’heure de l’uniformisation. De même, tout ici s’entrechoque dans un chaos splendide. Le brut et le taillé, le précieux et l’accessible, le mat et l’étincelant, la force et la délicatesse. Réalisés en bronze ou en argent dorés, les bijoux ne cessent de surprendre, des bracelets-manifeste aux pierres surdimensionnées qu’on ne peut porter sans ressentir à chaque instant leur pesanteur majestueuse aux bagues mêlant pierres dites simples à des diamants ou des saphirs délicats. Pensées comme des sculptures, les œuvres de la créatrice sont de véritables œuvres d’art, réalisées par les plus talentueux des artisans, doreurs ou fondeurs, tous installés à Paris même, dans un esprit éthique qui ne pourra que contribuer à séduire celles et ceux qui auront d’emblée aimé cette jeune maison. Les pièces de la créatrice sont à découvrir et à acquérir en ligne, elles seront aussi à voir et à ressentir (sur rendez-vous) dans l’ancien atelier des sculpteurs Jan et Joel Martel, chef-d’œuvre de Mallet-Stevens, abritant la galerie de l’antiquaire Éric Touchaleaume, dans le 16ème arrondissement qui sert d’écrin aux œuvres de Marie-Alexandrine Yvernault. Signées d’un joli MAY, acronyme de son nom, elles feront sans conteste passer une émotion sincère autant qu’un message ensorcelant. « May I seduce you ? »